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Le baume et le recyclage
Le baume se pare depuis peu d'un petit logo de tri appelé "triman":
Ce logo indique que vous pouvez faire des actions de recyclage et comment recycler le produit que
vous avez acheté.Pour le baume, la carte attachée au pot se jette dans les poubelles de recyclage papier, cartons et/ou emballages.
Pour le pot plastique, vous pouvez, soit le jeter dans les poubelles de tri des emballages plastiques, soit le garder et l'utiliser comme récipient pour mettre une crème à emmener en voyage, des compléments alimentaires, boite à bijou de voyage... bref, pour y garder des petites choses qu'on aurait peur de perdre
par exemple.Merci de penser au tri !!
Pour ma part, il était important pour moi, depuis le début de la commercialisation du baume, de penser
toutes les étapes de fabrication et de vente en faisant attention au recyclage comme par exemple:_ les pots sont achetés à un fabricant qui les emballe dans du papier recyclé , ce papier est ensuite
réutilisé pour les envois de pots aux tatoueurs_ les cartons utilisés pour les colis aux tatoueurs ou aux particuliers sont récupérés dans les magasins
de bricolage_ j'ai fais un bilan d'éco-conception pour trouver encore plus de solution d'action de recyclage...
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Le baume naturel Scared Scar change de peau !!
Après 4 ans de bons et loyaux services, l'étoile rouge laisse la place... à une pince de crabe !!
Une pince de crabe ??! Quel rapport ?Je me suis bien pris la tête pour savoir si "l'image du produit" devait absolument refléter certaines de ses
caractéristiques, ou rester dans un esprit autre et avoir un packaging un peu décalé et sympa...Est ce qu'un produit devrait absolument refléter à l'extérieur ce qu'il est ou ce qu'il voudrait être aux yeux
des consommateurs et ainsi suivre la logique du marketing et de ses codes?On m'a souvent dit "ton produit est super mais le packaging laisse à désirer et je ne t'en prendrai pas pour
Depuis le début, je fais tout moi-même et il est évident, à la vue des mes anciennes étiquettes, que je ne suis
pas une pro de photoshop !!
A l'époque, j'avais de toute façon pas trop le choix, alors j'ai fais comme bon me semblait dans mes possibilités.Je me retrouve une nouvelle fois face à ce questionnement : dois-je faire un étiquetage qui montre le côté
naturel et fait main du produit, quitte à tomber dans des représentations et codes couleurs qui ne me
plaisent vraiment pas ou alors je fais quelque chose qui n'a rien à voir, qui ne montre pas le côté naturel etc... mais qui me plaise ??Personnellement, la pub et ses codes ne me parlent pas plus que ça. Je privilégie le contenu au contenant
(c'est encore mieux quand il peut n'y en a pas!!), et l'éthique du produit.
Et je pense que c'est ce qu'ont également fait mes clients...Il est important de comprendre que la publicité et tous ses codes de packaging cherchent le plus souvent
à vous aguicher, à vendre du rêve quoi !!
Et dans le prix final, vous payer parfois plus cher d'emballage que de produit !
Moi je n'ai pas du tout envie de rentrer dans ce jeu. Je n'avais pas envie de créer un design qui aurait la
volonté de se faire passer pour "plus blanc que blanc" ou pour inciter les gens à acheter le produit.Pour moi, si un produit est bon et efficace, il se suffit à lui même.
L'important est de fabriquer un baume naturel, et de donner aux clients tous les éléments qu'ils ont besoin
de connaître de manière claire et strictement fidèle à ce qu'il y a vraiment dans le pot!!Mais pourquoi une pince de crabe ? Parce que justement je me fous des codes de packaging et de la publicité.
Alors oui, une pince de crabe n'a vraiment rien à voir avec le produit, mais quand Léa Nahon m'a proposé
un de ses dessins, bim!! une pince de crabe!!Et une pince de crabe de Léa, ça ne se refuse pas!
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Déborah parle du baume naturel pour tattoo Scared Scar sur son blog...
Merci beaucoup!!!http://deborah-galopin.com/2014/02/12/tatouage-phase-de-cicatrisation-et-resultat-4-mois-apres/
Tatouage: phase de cicatrisation et résultat 4 mois après…
Précédemment, j’ai écris un article concernant ma phase de recherche de motifs et de tatoueur, puis un second quand je me suis fait piquée. Aujourd’hui, cela fait 4 mois passé que j’ai ma plume sur le bras. Personne n’ignore qu’entre-temps je suis passée par la phase cicatrisation. Quand j’écris ce mot, cela évoque tout de suite quelque chose en vous: démangeaison insoutenable, envie de se gratter, mais comme on le signale partout en rouge, en gras, en surligné avec des panneaux clignotants « attention », vous devez vous contenir car c’est INTERDIT ! « L’après serait-il pire que le pendant ? » vous demanderez-vous, légitimement. Pour ma part, ça n’a pas été le cas, aussi je vais vous raconter mon expérience.
Après la séance de tatouage, je suis rentrée avec le bras entouré de cellophane. Je l’ai enlevé deux heures, plus tard, toute excitée à l’idée d’admirer le résultat. J’ai frotté délicatement avec ma main sous l’eau tiède, (j’ai bien précisément délicatement, pas avec la face verte de l’éponge…) pour enlever le corps gras que le tatoueur m’avait appliqué. Puis j’ai nettoyé mon bras à l’aide d’un savon au PH neutre. Des points de sangs étaient visibles, j’étais fière: j’avais surmonté la douleur, mais une nouvelle étape m’attendait: celle de la cicatrisation. Étrangement, c’est mon copain qui la redoutait, plus que moi : « Tu vas être insupportable ! Déjà quand t’as une piqûre de moustique tu peux pas de retenir de te gratter jusqu’au sang… Mais là, va pas falloir gratter ! Alors tu vas te plaindre et tu vas être chiante. » (Oui mon chéri est très compatissant…) « C’est comme quand tu disais que je ne supporterai pas de me faire tatouer car j’ai une aversion pour les prises de sang. 2h que j’ai tenu, 2h ! Sans pleurer, sans crier, sans tomber dans les pommes… Alors c’est pas quelques démangeaisons qui vont me faire peur. » lui répondais-je. Eh oh ! C’est qui qui a des couilles, ici ? Okay, pas moi… mais bon, quand même, après ce que je venais d’endurer, j’étais forte !
Je n’ai mis aucun produit jusqu’au lendemain soir, car selon mon tatoueur plus on peut le laisser à l’air libre, mieux c’est pour la cicatrisation. Ne serait-ce qu’effleurer mon bras, me procurait une sensation désagréable, presque d’électricité, la peau étant à vif ! Mais contrairement ce que craignais mon copain, je ne m’en plaignais pas. En revanche, je faisais très attention à ce que mon avant-bras entre en contact avec le moins de chose possible. Par exemple, les deux premiers jours, j’ai mis un tee-shirt d’été manche courte (début novembre…), mais vu qu’il ne faisait pas bien chaud dehors même avec un manteau en plus, j’ai vite ressorti les pulls.
Durant toute la semaine qui a suivi, je faisais en sorte lors de mes douches de ne pas mettre de savon sur mon bras. Non, je ne suis pas grosse crado; un avant-bras, ça pue pas, d’autant qu’il n’est pas nécessaire de trop nettoyer son tatouage. Certains vont même jusqu’à dire que le savon ce n’est pas bon… Alors dans le doute, je me suis abstenue.
2 à 3 fois par jours, je mettais de la crème, mais pas n’importe quelle crème ! J’ai commandé sur internet ce petit pot magique SCARED SCAR qui est un baume entièrement biologique (sans produit chimique) composé à base de cire et de propolis. Personnellement, c’est un produit que je recommande. La livraison a été très rapide, la personne que j’ai contacté s’est montrée aimable et arrangeante et a fait en sorte de l’envoyer dans les temps malgré ma commande tardive. (J’ai même une droit à un petit mot très sympathique lorsque j’ai ouvert l’enveloppe, ça fait toujours plaisir.) L’utilisation du baume est expliqué grâce à une petite notice enroulée autour du pot. Le prix est raisonnable (8euros pour un petit pot de 20grammes). Il sent bon et il vous fait du bien ! Que demander de plus ? Bref, vous l’aurez compris, ce produit m’a totalement conquise !
Je ne sais pas si c’est grâce au baume, mais je n’ai ressenti aucune démangeaison. Bon d’accord… deux fois ! Mais cela restait largement supportable. C’était vraiment fabuleux et agréable. Je me sentais presque privilégiée de ne pas être sujette à ces désagréments. « T’as vu chéri ? Je suis pas une douillette moi ! »
En revanche, lors de la seconde semaine des petits boutons sont apparus à l’endroit où j’avais de l’encre blanche. Ça ne faisait pas mal, c’était juste un peu disgracieux, la peau étant légèrement boursouflée. Je craignais que mon épiderme ne supporte pas cette encre, mais finalement après un mois tout est rentré dans l’ordre. Cam-myiu m’a dit qu’il était probable que je mette trop de crème. Pourtant, lors de la deuxième semaine je n’en mettais plus qu’une fois par jour et de moins en moins ensuite. Je pense que je ne l’étalais pas assez, elle devait rester trop longtemps en surface. Vous l’aurez compris: ne faites pas comme moi, ce n’est pas du Nutella qu’on tartine sur une tranche de pain. Le principal, c’est que ça marche et que tout soit rentré dans l’ordre avec un peu de patience ! Après tout, ma peau a quand même été mise à mal, il ne faut pas l’oublier. Se faire piquer c’est pas vraiment comparable à une séance de massage…
1 mois et demi après, je suis retournée voir mon tatoueur GORBALEX. Constat: très bonne cicatrisation, aucun problème. Une petite photo pour rajouter à son Book et à la prochaine. Contrairement aux premiers jours, je ne suis plus en train de le regarder toutes les demi-heures. À vrai dire, je n’y fais même plus attention. Je sais qu’il est là et c’est tout. De temps en temps, ça me prend, je l’observe du genre: « Bonjour toi ! Ca faisait longtemps ! Qu’est-ce que tu deviens ? ». Je m’extasie devant quelques minutes et répète à mon copain: « plus il cicatrice, plus il devient beau ! Plus il cicatrice, plus je l’aime. » Et puis, je le laisse tranquille. Vous l’aurez compris, je ne regrette nullement mon choix. On peut me dire: « Tu sais, c’est pour la vie ce truc là ! » que je répondrais: « Boarf.. Et alors ? Je l’ai pas fait pour qu’il s’efface au bout de 2 mois. » J’ai décidé d’encrer ma passion sur ma peau et mon tatouage fait désormais parti de moi.Un prochain tatouage ? Si je devais en faire un autre ce serait la manchette, mais ça ne sera probablement pas pour tout de suite. « Si tu en fais un autre, je te renie ! » profère ma mère (j’exagère un peu, mais c’est presque ça). Alors on va attendre un peu… le temps de mûrir ce projet ;)
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Bonjour à tous,
Je suis heureuse de vous annoncer que Scared Scar change de pots...
Certains clients trouvaient peu pratique la taille des pots notamment celui de 20 grammes dont
l'ouverture n'était pas très large et qui posait des soucis aux messieurs et leurs gros doigts et à celles
qui ont les ongles longs!
Dès le début de la création du baume j'ai fais le choix personnel de ne pas utiliser des contenants en
aluminium car l'extraction de ce matériau fait des ravages écologiques.
Je vous invite à regarder ces deux reportages:
"Planète Alu" de Bert Ehgartner:
http://www.dailymotion.com/video/xyhz0m_planete-alu-planete-toxique_news
"Aluminium, notre poison quotidien" de Valérie Rouvière:
https://www.youtube.com/watch?v=X-XVWTjUoKMIl y a aussi le fait que tous ces pots en aluminium, qui sont peu chers, viennent de Chine.
Pour une utilisation cosmétique, ils doivent être recouvert d'un vernis de qualité alimentaire pour
que le produit n'entre pas en contact direct avec l'aluminium.
Or, avec les produits chinois, il est difficile d'être sûr de la qualité de ce vernis.
Alors oui, les petits pots en aluminium sont très mignons et bien pratiques, ils sont classes et à la mode,
mais je ne souhaite pas utiliser ce matériau polluant (boues acides).Le choix du plastique s'est imposé à moi car c'est un matériau facilement recyclable, léger et opaque.
Certains me diront que le plastique c'est pas mieux et qu'on en est entouré, mais je pense que c'est un
moindre mal.
J'aimerai trouver un jour des pots cosmétiques qui pourraient se jeter au compostage!!Il m'a été longtemps difficile de trouver des pots adéquats pour mon baume et j'avoue être en recherche constante.
Mais aujourd'hui, j'ai trouvé ces pots noirs de fabrication suisse, et donc un fournisseur qui se trouve à
moins de 350km de chez moi. (Les pots de 10 grammes proviennent eux des USA, j'aimerais les
commander en France mais aucun fournisseur ne produit de contenant similaire!).
Ces pots sont fabriqués en plastique PP, celui qui est identifié sous le numéro 5.
Pour info, les plastiques qu'il est préférable d'éviter sont le PET (N°1); le PVC (N°3); le PS (N°6) et
le PC (N°7).Ce nouveau fournisseur ne propose pas de contenant de 20 grammes, il m'a donc fallu prendre
celui de 30 grammes.
Je tiens donc à préciser à mes clients que les pots de 20 grammes ne sont donc pas remplis jusqu'en
haut car j'ai préféré garder le poids originel de 20 grammes pour ne pas avoir à changer le prix.Jusqu'à présent, je pouvais proposer à mes clients l'envoi des pots de 10 grammes et 20 grammes
en minimax, ce qui représente un coût de 1.65€ par envoi. Avec ces nouveaux pots, il ne sera plus
possible d'envoyer les pots de 20 grammes en minimax mais par colis (à 5.50€).
J'en suis désolée pour mes clients, mais la poste ne propose pas de prix d'envoi intermédiaire!
Il sera toujours possible pour ceux qui n'ont pas trop les moyens, d'envoyer deux pots de 10 grammes
pour faire l'équivalence.J'espère que ces nouveaux pots vous satisferont et que vous comprendrez mon choix.
Merci à tous pour votre soutient et vos messages encourageants!!Jude
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Je suis heureuse de vous présenter une nouvelle taille de pot pour le baume naturel pour tattoo Scared Scar .
Vous pourrez dès maintenant le retrouver dans un format plus petit puisqu'il fait 10 grammes.
C'est le format idéal pour les petits tattoo et pour le transporter dans votre poche.
La famille s'agrandit donc et compte maintenant 3 tailles de pot:
10 grammes, 20 grammes et 50 grammes.
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